Je m'appelle Latour-Dumas, Nicholas Constant Latour-Dumas. C'est sûr que ça sonne moins bien que James Bond mais après tout, je suis seulement français alors un peu de respect s'il vous plait. Donc je reprend... Je m'appelle Nicholas et je suis un vrai connard. Non mais, je ne vais pas vous mentir, j'en ai toujours fait qu'à ma tête, je ne me suis jamais préoccupé de rien ni personne à par des êtres qui me sont chers mais ça, c'est une évidence. Donc je reprend, je suis né à Paris, j'ai grandi à Paris avec mes parents ou du moins ma mère car mon père était souvent absent suite aux missions données par les marines. Oui, mon père était un grand homme, je dirais même un héros, mon modèle, ma fierté et j'ai toujours voulu lui ressembler un jour au l'autre. Jusqu'à son dernier souffle, il a défendu notre pays, il a fait en sorte de protéger ses hommes, sa seconde famille et j'ai toujours souhaité en faire de même, me rendre utile. Ma mère a très mal vécu le décès de mon père quant à moi, je suis resté fort pour elle malgré mon jeune âge. Je n'ai jamais pleuré pourtant, ce n'est pas l'envie qui me manquait. J'ai toujours refoulé mes larmes et exprimé mes sentiments par la violence. Ce jour là, j'avais tout simplement envie de tout casser dans la maison. Je suis monté à l'étage, je me suis enfermé dans ma chambre et tous ses objets auxquels je tenais tant ont fini par se retrouver brisés en mille morceaux à même le sol. Ma mère n'en a pas tenu compte, elle me connaissait par coeur, elle savait comment je réagissais et avait consciente que je me calmerai seul. C'est ce que j'ai fait, j'ai attendu allongé sur mon lit, j'ai réfléchi et je suis ensuite descendu rejoindre ma mère pour la réconforter et lui promettre que je veillerai toujours sur elle. Bien sûr, je n'étais qu'un gosse et ça la faisait plus sourire qu'autre chose mais avec le temps, elle a compris ce que ses mots signifiaient à mes yeux. J'étais jeune, j'avais envie de profiter de la vie, de sortir m'amuser, de me taper des inconnues juste pour le plaisir.... Voilà pourquoi j'étais un connard. Je me contrefichais de tout, rien n'avait d'importance hormis la femme qui m'avait mis au monde. Elle était tout à mes yeux, le reste n'était rien d'autre qu'un terrain de jeu, mon terrain de jeu et j'étais maître de tout cet univers qui m'entourait. Je vivais au jour le jour sans me préoccuper de rien, au collègue, on me considérait déjà comme un cas désespéré. Tout le monde pensait que j'allais finir barman ou même mac puisque mes centres d'intérêts tournés tous autour de la débauche, on pourrait même dire qu'elle était comme une seconde mère. Bref, voilà à quoi se résumait mon enfance et mon adolescence. Ce qui m'a fait changé ? Vous êtes vraiment curieux vous ! A seize ans, j'ai suivi le parcours de mon père et je suis entré dans l'armée bien que ma mère refusait mon engagement. Elle avait peur de me perdre comme elle avait perdu mon père et c'est seulement au bout de plusieurs mois qu'elle comprit à quel point cela me tenait à coeur. Quoi qu'elle en pense, elle savait que j'irais jusqu'à bout, je n'étais pas du genre à abandonner, j'étais un battant et je savais ce que je voulais faire de ma vie. C'est alors qu'elle se mit à me soutenir, à me conseiller -sans doute un peu trop !- et a réaliser petit à petit que j'étais plus un enfant ou encore un jeune adolescent rebelle mais bel et bien un homme.

Quatre ans plus tard, j’étais casé. Qui l’aurait cru. Marilyn était une californienne d’origine venue s’installer à Paris à peine un an avant notre rencontre hasardeuse et fort maladroite. J’avais presque vingt-et-un au moment où la jeune femme vint à m’annoncer qu’elle était enceinte de trois mois. Nous étions ensemble que depuis plus d’un an et je n’étais absolument pas prêt à devenir père, j’avais d’autres priorités, notamment l’armée, le fait de défendre mon pays sans relâche et le seul fait d’avoir un enfant compliquerait les choses. Je n’étais déjà pas très présent aux côtés de Marilyn en tant normal alors mieux valait ne pas compter sur moi pour que j’y sois plus une fois que ce petit être pointerait le bout de son nez. Nous nous sommes disputés une énième fois avant que les mots que je redoutais le plus sortent de sa bouche. « Je te quitte Nico. » Le rouge m’était tout naturellement montée à la tête. Oui, j’étais énervé envers elle, envers ce truc qui allait prendre plus de place en elle au cours des six prochains mois. « Attends tu me quittes à cause de ça ? Et comment tu vas faire ? Qu'est-ce que tu comptes faire ? » . « T'inquiètes pas pour moi, je vais me débrouiller mais toi... Ta carrière passera toujours avant tout. Je veux pas être la dernière roue du carrosse et puis, on est pas fait pour être ensemble. » Elle n’avait pas totalement tord car ma carrière prenait une grande place dans ma vie, parce que je voulais faire honneur à mon père, je voulais que de tout là haut il soit fier de moi mais ça, il ne semblait pas que Mari le comprenne. Sans un mot de plus, je m’en allais.

Malgré tout, ce qui c’était passé avec la jeune femme, je n’avais pas renié son fils, loin de là, dés que je n’étais pas en mission, je me trouvais avec ce dernier, lui consacrant presque tout mon temps libre. Depuis ma séparation avec Marilyn, j’avais repris en parti le train-train habituel d’avant notre engagement, sortant le soir quand je le pouvais, venant à me taper une parfaite inconnue juste pour me rappeler du bon vieux de temps et de la liberté que j’avais à cette époque. J’en avais bien besoin au risque de me retrouver étouffé par une pression trop énorme. Puis de toute manière, je ne devais rien à Mari, elle n’avait pas besoin d’être au courant et puis ce n’est pas comme si l’une de mes conquêtes s’était déjà retrouvé en face de mon petit garçon. Valentin avait à ce jour six ans et presque deux mois. La dernière fois que je l’avais vu, c’était il y a un mois. J’aurais dû l’avoir avec moi pour un petit week-end, week-end qui se résuma à une simple journée puisque je fus appelé plus tôt que prévu. J’avais rassemblé mes affaires avant d’aider Valentin à en faire de même, le ramenant rapidement chez sa mère qui ne manqua pas de me rappeler que mes promesses n’étaient que du vent mais après tout, je n’y pouvais rien. J’étais rentré il y a trois jours de cela, hospitalisé d’urgence après m’être pris une balle en pleine épaule. Marilyn n’en savait rien, Valentin non plus et c’était bien mieux comme cela. Sauf qu’étant revenu à Paris, je savais que je ne pourrais leur cacher cela bien longtemps, surtout si j’étais ici pour un bon mois, minimum.

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PRÉNOM/PSEUDO : Ludo' / Ludovic ◭ AGE : 20 ◭ PAYS : Disneyland ◭ FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7j/7 ◭ PERSONNAGE : Scénario de m'amour de Marilyn /sbaff/. ◭ Comment est-tu tombé sur JTL ? Grâce à la meilleure des meilleures ◭ COMMENT TROUVES-TU JTL ? Il déchire ◭ UN DERNIER MOT ? Jean-Pierre ◭

Bienvenue sur le forum (: J'espère que tu passeras de bon moment ici avec moi. Bravo ! Tu viens d'être validé(e) et tu vas donc pouvoir profiter pleinement de ta vie à PARIS. Si tu ne l'as toujours pas fait, (Pas Biennnnn!), je te conseille d'aller voir tout de suite les sujets important telle que le bottin, ensuite d'aller crée tes scénarios scénarios . Bien évidemment, si tu as un problème ou quoi que ce soit, n'hésites pas à nous poser toutes les questions que tu veux ! En tout cas, la team est très heureuse de pouvoir t'accueillir et on espère de tout notre cœur que tu te plairas en notre compagnie ! De plus, n'oublie pas d'aller commencer à t'occuper de ton personnage et de ton personnage dans la partie gestion. Finalement, ton groupe est donc nom du groupe, toutefois, si dans le cas ou celui-ci ne correspond pas suffisamment à ton personnage, n'hésite pas à nous en faire part! On t'aime ! Kiss.