Regard appuyé de son côté, tu joues l’effarouchée sainte-nitouche, la niaise qui ne se rend pas compte, qu'elle a une touche. Il te fixe, attablé au fond dans un coin sombre, ni vu ni connu, dans ton esprit viennent se loger des pensées peu catholiques. Certes, tu taffes, mais le bistrot est quasi vide, ton absence passerait inaperçue. De plus, plutôt beau goss le gus. Ton attention est immédiatement attirée par sa montre, tu sais c'qu'est beau toi, qu'est-ce qu'il fout dans ce bar miteux. Tu jettes des petits regards timides dans sa direction, alors qu'il n'en est rien, tu feintes, tu joues les mystérieuses, petit sourire en coin genre « tu m'auras pas », et paf le tour est joué il se lève et s'approche. Tu retournes à ton job, comme si nettoyer les verres de vodka t'intéressait. Tu ne l'entends pas arriver, mais son odeur -ô combien délicieuse- parvient direct à ton nez. Tu fais l'étonnée, -la pauvre enfant qui n'avait rien compris, au petit jeu qui se déroulait entre vous deux depuis une bonne heure déjà-, quand il te glisse l'addition de son café -bien noir, sans sucre s'il-vous-plaît. Tu ne daignes même pas relever les yeux, ton regard est fixé, comme hypnotisé, sur ce bout de papier mêlé aux pièces de monnaie. Dix chiffres noir se détache sur un fond blanc, écriture appliquée, tu susurres, « je ne t’appellerai pas. », sourire en coin, toujours ; adoption naturelle du tutoiement. Son rire résonne, charmeur, comment résister ? Sans un mot, sans une réponse, il s'en va. Mais son rire continu d'emplir la pièce, gravé dans ta mémoire, il reste.

« Tobias, serait-ce trop de te demander d'abandonner ton.. amie, juste le temps de te parler ? » poing sur la hanche, tu tapes du pied, mademoiselle s'impatiente. « Tobias ? », enfin monsieur se lève, visiblement agacé d'être dérangé. Tant pis, sans prendre de gants tu dévoiles le fond de ta pensée. Continuant de jouer ton rôle, comme si tu ne te rendais pas compte que ton frère est un arna-coeur, briseur de couple et baiseur à plein-temps. Tu joues la comédie, « Qui est-ce ? », sourcils qui se lèvent, tu attends le mensonge éhonté qu'il va bien pouvoir trouver. Et celui-ci ne se fait point attendre, « Comme tu l'as dit, une amie, chère soeur. », ben voyons. Tu t'apprêtes à insister, tu souhaites le voir gêné, qu'il balance enfin la vérité sans que toi-même, à sa place, tu aies besoin d'avouer. Mais, soudain, coups secs frappés contre le bois de la porte d'entrée. Oh tiens, un invité ? Regard de Tobias qui semble t'implorer d'aller ouvrir, yeux qui montent aux cieux pour ta part, mais soit, tu déguerpis. Tu ouvres la porte, et, oh, surprise, le cher inconnu au café noir sans sucre. Tu t'appuies contre l'encadrement de la porte, bras croisés sur ta poitrine, tu le détailles sans aucune gène, attendant qu'il prenne la parole car ce n'est pas toi qui parlera. Monsieur paraît amusé de la situation, mais, droit au but « Je viens chercher ma soeur. Elle est là ? » Tu fais la moue, une moue négative, non tu n'vois pas de quoi il parle. Bruits de chaises, pas rapprochés, soupir exaspéré suivi de voix féminine. Coïncidence troublante, tu hais quand la vie se joue de toi ainsi. « Oui, Marius, je suis là. »

Qui aurait cru que tu rencontrerais ton prince charmant, dans c'vieux bar où tu taffes pour gagner quedal ? Il est beau, il est intelligent, il est drôle, il est romantique et séduisant. Mais, surtout, il a l'Argent. Avec un A majuscule, oui. Héritier d'une grande entreprise familial à tout juste vingt-trois ans, entreprise qui possède plusieurs dizaines d'actions, l'argent coule à flot pour lui, ses poches en sont remplies. Tu es devenue choyée, gâtée, parce que le destin à placé sur ton chemin cet individu avec qui tu as accepté de t'engager. Bien grand mot, ce n'est que ton petit ami. Mais, petit ami souvent en déplacement, ce qui te confère de grandes libertés. Voilà pourquoi tu restes à ses cotés : il a l'Argent et, il t'offre la Liberté, assurément tu en profites, même plus que ça, tu en abuses. Il ne reste qu'un nom, Osvaldon J-S mais avec lui, l'histoire est censée s'arrêter là.

Citation :

PRÉNOM/PSEUDO : EYLIKA. ◭ AGE : 15 piges au compteur. ◭ PAYS : france. ◭ FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7/7. ◭ PERSONNAGE : tout droit sorti d'ma tête. ◭ Comment est-tu tombé sur JTL ? bazzart et puis l'autre type là, osvald-truc. ◭ COMMENT TROUVES-TU JTL ? m'a l'air plutôt pas mal. ◭ UN DERNIER MOT ? POZIEFRHQD ◭

Bienvenue sur le forum (: J'espère que tu passeras de bon moment ici avec moi. Bravo ! Tu viens d'être validé(e) et tu vas donc pouvoir profiter pleinement de ta vie à PARIS. Si tu ne l'as toujours pas fait, (Pas Biennnnn!), je te conseille d'aller voir tout de suite les sujets importants tels que le bottin, afin de vérifié si la célébrité que tu possède est dans celui-ci, ensuite d'aller crée tes scénarios scénarios . Bien évidemment, si tu as un problème ou quoi que ce soit, n'hésites pas à nous poser toutes les questions que tu veux ! En tout cas, la team est très heureuse de pouvoir t'accueillir et on espère de tout notre cœur que tu te plairas en notre compagnie ! De plus, n'oublie pas d'aller commencer à t'occuper de ton personnage et de ton personnage dans la partie gestion. Finalement, ton groupe est donc les serials-lovers, toutefois, si dans le cas ou celui-ci ne correspond pas suffisamment à ton personnage, n'hésite pas à nous en faire part! On t'aime ! Kiss.