OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée)
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Sujet: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 15:48
Osvaldon Jean-Simon Martin.
NOM ▷ Martin PRÉNOM ▷
Osvaldon ÂGE ▷ vingt-trois ans SURNOM ▷ n'essaie pas les surnoms,mais pour les proches,j'suis habitué à ce qu'on m'appelle par mon nom de famille ou encore J-S,c'pour les potes ça.DATE ET LIEU DE NAISSANCE ▷le six juillet à RotterdamORIGINES ▷hollandaise NATIONALITÉ ▷française STATUT CIVIL ▷ célibasexeMÉTIER-ETUDES ▷ trader AVATAR ▷ harvey newton haydon CRÉDIT ▷ tumblr
Personality
Vas-y que je t'amadoue avec mon accent hollandais,je fais semblant être perdu dans la capitale française,toi,jeune fille surement naive,tu tombes dans le panneau.Je t'invite à diner,tu penses que je vais te le payer mais c'est là où bosse ma tante,mais elle connait mon p'tit manège et ça l'a fait même rigoler. Finalement,ça se termine dans un lit et le lendemain,j'me casse, même pas je te laisse mon numéro et je pars pour une énième journée emmerdante au boulot. T'es un peu tordu dans ta tête,t'as jamais été correct envers les filles,tu sais pas ce que c'est de rester en couple ne serait-ce qu'un mois,tes aventures les plus longues ont duré trois semaines,mais la fidélité n'a jamais été ton fort.Cependant,tu restes quelqu'un de loyal,tes amis pourront toujours compter sur toi. T'es mesquin et taquin dans tes paroles,toujours à titiller tes interlocuteurs,on s'habitue vite. Tu es tête en l'air,t'oublies tout ce que l'on te dit et souvent ça pose problème.Tu sais t'y prendre avec les gens pour les amadouer,t'es un sacré manipulateur. Sinon t'es quelqu'un amusant,à toujours sortir des blagues qu'il faut prendre au second degré et un excellent pianiste et guitariste,talents que tu utilises pour en conquérir quelques unes.
Where
POUR VOUS L'AMOUR C'EST : une pure connerie. un cliché commercial. la vie. un rêve.
C'EST LA SAINT VALENTIN, QU'OFFREZ-VOUS POUR VOTRE CONJOINTE :
un bracelet en or. une voiture. un porte-clé que vous avez trouvé dehors. une boite de préservatif.
QU'EST-CE-QUE LE SEXE SELON VOUS ? un plaisir. la preuve d'un amour physique et psychologique. un cauchemar. un rêve.
VOUS PRÉPAREZ UN DÎNER POUR VOTRE CONJOINTE, QUEL GENRE DE DÎNER PRÉPAREZ-VOUS ? vous avez tout préparé, un dîner aux chandelles, et pleins de cadeaux au rendez-vous ! vous faites de votre mieux, et lui offrez un dîner normal. vous commandez mc'do. elle se débrouillera avec ce qu'il y a dans le frigo.
QUEL TYPE DE PETIT-AMI ETES-VOUS ? grand romantique, vous préparez des diners aux chandelles chaque semaine. grand taquin, vous adorez vous moquer de votre petite-amie, mais vous savez vous arrêter. libre comme l'air, vous êtes avec conjointe juste pour le sexe. aucun type, vous êtes mieux tout seul.
Dernière édition par Osvaldon J-S Martin le Sam 10 Nov - 20:25, édité 3 fois
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Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 15:48
You didn't know my story.
► Tes parents sont morts.. Tu t'en souviendras toujours de cette annonce qui a totalement bouleversé ta vie. Tu t'en rappellerais toujours de la voix crispée de ta tante,les larmes aux yeux.De ton oncle accoudé à l'évier,se retenant de ne pas fondre en larmes et toi qui dévorais tes céréales.Alors que tu ne rêvais que d'une chose,de les voir,t'entourant de leur bras.Ta tante avait même pris la peine de te le dire en hollandais.Tu laissais ta cuillère tomber dans le bol,où le lait te valut des éclaboussures au visage.Tu ne pouvais pas croire à ça,pas eux,ils n'avaient pas le droit de te laisser alors que tu venais tout juste d'avoir six ans. Et comment c'était possible ? Ta tante semblait lire dans tes pensées,puis ce qu'elle répondit à ta question sans même que tu l'eusses demandé. Accident de voiture en voulant se rendre en Suisse.Je suis désolé mon cœur.. Elle tentait vainement de te prendre dans ses bras,mais pas d'humeur à jouer les gentils garçons,tu n'aimais déjà pas la pitié qu'on pouvait t'implorer,tu rejetais son accolade et te rendis dans ta chambre,en prenant bien soin de claquer la porte de ta chambre.Tu montais sur ton lit et te posais près de la fenêtre,versant quelques larmes,les seules que tu versais pour le décès de tes deux parents.Tu regardais Rotterdam sous la pluie battante,tu regardais les cyclistes s'empressant de rentrer chez eux,la vie continuait.. Tu le savais.Tes parents t'avaient fait grandir avec comme devise : Qu'importe les évènements qui se passent,tu sais qu'on t'aime. C'était une devise à la Martin. Tu essuyais d'un revers de mains les perles salées qui coulaient de ton visage et rejoignis ta tante.Elle semblait bien plus bouleversée que toi.Elle avait perdu sa folie,tout comme ton oncle,qui ne te sortait plus ses blagues sur les filles,et en y pensant,si tu t'attirais autant les foudres des demoiselles,c'était surtout grâce - à cause ? - de lui. Ils avaient toujours pris soin de toi. Plus que tes parents,qui étaient sans cesse en voyages d'affaires et qui t'apportaient des cadeaux des quatre coins du monde. Maladroitement,tu te disais que tes véritables parents c'était ta tante et ton oncle. T'avais passé de chouettes moments avec tes parents,mais les meilleurs étaient ceux avec ton oncle et ta tante,tu refusais surement de te l'avouer et eux aussi.Comme ta tante était ta marraine,ils devenaient des tuteurs légaux.
► Avachis dans le canapé,observant les allers et viens de ton oncle et ta tante,ton oncle finit par remarquer les miettes de chips que tu laissais tomber sur le sol. C'est pas possible J-S. Tu peux peut-être nous aider ? Tu te redressais,histoire de ne pas trop attiser la colère ton oncle. A quoi ? Vous avez presque fini.. Tu pris ce faux air angélique et replongeais à nouveau ta main dans cette cochonnerie. Ton oncle désemparé,continuais son chemin et tu pouvais l'entendre marmonner quelques mots en français,que tu ne comprenais pas vraiment. Tu déménageais pour Paris. A la base,ton oncle et ta tante vivaient dans la capitale et avaient abandonné leur patrimoine,pour s'occuper de ton éducation en Hollande.Ils avaient souhaité t'emmener là-bas à la nouvelle tragique du décès de tes parents,mais t'avaient refusé et ils avaient compris et avaient trouvé chacun un travail permettant de payer de quoi vivre. Désormais,du haut de tes quinze ans,tu leur avais annoncé que tu te sentais près à quitter la Hollande.Bien que c'était avec beaucoup de regrets que tu quittais cette ville dans laquelle tu avais grandi,dans laquelle tu étais né,tu savais qu'il fallait tirer un trait et arrêter de ne penser qu'à ta gueule.C'était quoi qui avait annoncé ton désir de quitter cette ville. Paris t'avait toujours intrigué et il paraissait -selon ton oncle - que les parisiennes étaient jolies. Oui,t'étais déjà un tombeur à cet âge là. Tu regardais les cartons s'empiler, dans quelques jours,tu quittais cette ville,tes amis,ton école et puis tu allais arriver à l'entrée du lycée à Paris.Heureusement que tu pratiquais souvent le français,sinon tu aurais été probablement paumé. Tu fermais le dernier carton contenant tes affaires personnels,tu jetais un dernier regard à ta chambre et la refermais. Tu ne reviendrais à en arrière,il était trop tard. Tous tes souvenirs familiaux ne représenteraient désormais qu'un album photo.Tu te compterais que de ça,pour te souvenir de tes parents. Tu rejoignis la voiture et te voilà en direction de Paris. Un sombre sentiment d’amertume se fit sentir,mais tu le dissimulais en leur parlant de ta technique de rapproche avec les parisiennes.
► T'en veux ? Il parait que ça rend les gens aimables. Tu regardais le joint que cette inconnue tenait en main.Affichant un sourire moqueur,tu levais ta main droite et lui montrais le joint que tu fumais.Puis pour qui elle se prenait pour te juger aussi vite,elle ne te connaissait même pas. Incapable de tenir une conversation normale,tu te relevais et quittais le banc en lui faisant un signe de main. T'étais arrivé à Paris depuis maintenant un an. Ton oncle ne mentait pas,ton lycée regorgeait de filles plus belles les unes que les autres et tu jouais souvent les beaux parleurs avec elles pour qu'elles t'accordent de leur temps. Souvent ça terminait dans une ballade à Paris,un baiser et la rumeur se répandait plus vite que la peste.Tes amis,que tu venais de te faire,te tapais l'épaule,te traitais de vieux dragueurs et te demandaient des conseils souvent discrètement.Ta tactique restait secrète. Tu revenais le soir,tu racontais tes histoires à ton oncle,qui rigolais et qui t'apportais chaque soir un nouveau conseil que tu exécutais dès le lendemain.Comme t'étais encore parfois maladroit en adressant la parole à la gente féminine,tu demandais comment leur parler,sans qu'elles t'envoient constamment sur les roses ou qu'elles prennent mal tes paroles,alors qu'elles étaient censées les flatter.Ils étaient de bons conseils,parfois,sans le vouloir tu les appelais papa et maman,à croire que t'avais presque oublié tes vrais parents,puis après tu te sentais gêné et eux aussi,mais leur humour détendait souvent l'atmosphère et tout le monde se remit à rire sans oublier le malaise qui venait de se produire. Ce qui me manquait en Hollande ? Surement ces paysages.La Hollande était unique et bien que parfois Paris me satisfait plus que ma ville natale,Rotterdam était différent,Paris ça sentait le business et je ne croyais pas si bien dire..
► Tu venais d'obtenir mon bac,tu venais de trouver des études sympas qui ne coutaient pas trop cher et tu avais réussi le concours d'entrée.Ton oncle et ta tante étaient fiers de toi,ton coté "hollandais" avait du plaire et c'était plutôt gratifiant de parler quatre langues,bien qu'il t'arrivait souvent de faire des confusions. Le jour de tes dix-huit ans,autour d'un repas familial avec les tantes,les oncles du Sud,les papys et les mamies de Bretagne,les cousines du Nord,vous fêtiez votre anniversaire.T'étais pas trop repas familial,surtout que t'étais le seul hollandais et souvent on essayait de te faire des blagues,qui au compte,ne comprenais pas,tu préférais les laisser rire et tu affichais ce sourire mesquin et ta tante,connaissant ce sourire,t'écrasait le pied,ce qui te valut un cri de souffrance et elle te reprochait ton manque de subtilité. Un de tes oncles voulait te parler. Il t'amenait plus loin de la table et croisant les bras,t'attendais la nouvelle qui semblait vraiment importante.La porte frappait. Tu tournais ton regard vers celle-ci.T'avais reçu un tas d'e-mails,un tas d'appels mais encore aucune visite.Tu rejoignis la porte d'entrée.Tes hommes se présentèrent.OK,tout de suite tu te demandais si tu avais commis l'irréparable,mais t'étais en règles..Enfin presque,si on comptait les substances illicites que tu consommais constamment. Ils se présentèrent et tu ne compris pas vraiment leur venue.Ta tante vous rejoignit sur le seuil de l'entrée et les invitèrent à rentrée sous le regard de ta famille qui faisait des messes basses et te scrutait du regard comme si t'étais devenu un inconnu . Monsieur Osvaldon Jean-Simon Martin ?Tu grimaçais à l'entente de ton prénom entier. Fallait que ces connards te rappellent que tes parents auraient pu choisir autre chose que Jean-Simon comme second prénom. Tu acquiesçais d'un simple geste de tête. Vous êtes à la tête de l'entreprise de votre père défunt. Il vous lègue toutes ses parts et bien sur,vous disposez de son compte en banque,tenez,voici un dossier dévoilant la part exacte de son compte.Bonne journée.Tu t'empressais d'ouvrir le dossier et rejoignis la cuisine pour avoir de la tranquillité.Tu faillis faiblir,tomber dans les vapes en voyant ces gros chiffres. T'étais passé du vendeur de pizza,à un mec carrément fortuné.Tes parents semblèrent avoir attendu tes dix-huit ans histoire d'acquérir une certaine sagesse afin de savoir prendre du recul sur certaines situations.Ton oncle et tante te rejoignirent dans la cuisine et tu les laissais découvrir la somme que tu possédais et écarquillèrent de grands yeux.Tu leur proposais de partager,mais ils refusèrent,ils voulaient que toi tu réussisses ta vie et avec cet argent,t'allais pouvoir faire des trucs que tu t'étais refusé.L'oncle qui tenait auparavant l'entreprise tirait la tronche pendant tout le repas et souhaitait absolument acheter des parts de l'entreprise,chose que tu refusais. Ton père était donc trader et tenais sa propre boite.Lui qui étais restais discret,tu comprenais pourquoi. Tu arrêtais tes études,vendis ton appartement pour en acheter un plus luxueux.Tu t'offrais quelques plaisirs,qu'avant tu te refusais. Tu découvris bien vite l'élite dorée de Paris.Au fond,tu ne t'en plaignais pas,parce que c'est tout ce dont un gamin de ton âge désireux pour ses dix-huit ans. Après ça,il allait falloir que tu gères une entreprise et à part quelques connaissances que tu avais acquises au cours de ton bac économiques et sociales,tu allais devoir plonger dans des livres inintéressants,qui te donneront l'envie de retourner dans ton lit plutôt qu'autre chose.
► Tu regardes ta montre.Tu sursautais,manquant de réveiller la charmante demoiselle qui dormait près de toi.Tu pris soin de ne pas la réveiller,pas le temps pour une fontaine de questions.Tu pris néanmoins la peine de passer sous la douche,t'enfilais tes vêtements de la veille,un dernier regard vers le miroir et tu claquais porte de l'appartement de ta conquête de la veille.Descendant quatre à quatre les escaliers,tu maudissais encore une fois le ciel de te réveiller à la bourre.Toi qui avais eu un discours saignant sur les retards de tes employés,ils allaient surement se plaindre,mais tu t'en fous,t'étais tout de même le patron et si ils te cherchaient,c'était direction la porte,t'étais pas de bonne humeur aujourd'hui. Paris,Paris.T'en oubliais presque la Hollande mais la différence était là : tu prenais le métro parce que ta voiture était encore tombée en rade alors que si tu vivais à Rotterdam,tu serais probablement un cycliste parmi tant d'autres.Cigarette en bouche,tu la terminais aussi vite que tu l'avais allumée et poussais la porte de ton entreprise.Ah,c'était encore étrange de te dire que c'était toi qui détenais les pouvoirs,du haut de ton bureau,tu aimais voir ces petits Einstein,comme tu les appelais,se décarcasser ou plutôt manipuler ces pauvres gens,qui étaient aussi naïfs que les gamins qui croyaient encore à la magie de Noël. Oui,t'avais pas longtemps cru à cette féerie en surprenant ton oncle et ta tante qui se disputaient sur les cadeaux achetés. Tu te mis à ton bureau. Posant un long regard sur la photo de ton père et de ta mère qui était sur ton bureau,tes lèvres s'étirèrent pour laisser un sourire triste.Un appel te fit sortir de tes pensées et tu raccrochas sec. Soupirant,tu te disais que tu pouvais pas avoir la paix.Finalement,tu repris ce que t'allais faire et allumais ton ordinateur. Tu massais tes paupières,t'avais eu une courte nuit et instinctivement,en y repensant,un sourire mesquin s'afficha sur tes lèvres.Satisfais d'en avoir encore embobiné une,en y réfléchissant,ce boulot était vraiment fait pour toi.
Citation :
PRÉNOM/PSEUDO : Maïlig/ .lollipops ◭ AGE : entre 0 et 100 ans,bonne recherche ◭ PAYS : France ◭ FRÉQUENCE DE CONNEXION : cinq jours sur sept,voire plus.◭ PERSONNAGE : inventé de A à Z ◭ Comment es-tu tombé sur JTL ? par le projet via Bazzart ◭ COMMENT TROUVES-TU JTL ? la gente féminine est plutôt pas mal ◭ UN DERNIER MOT ? ◭
Dernière édition par Osvaldon J-S Martin le Sam 10 Nov - 20:24, édité 4 fois
E. Solweig Marcel
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∆ COEUR BRISÉS : 91 ∆ HABITE À PARIS DEPUIS : 08/11/2012 ∆ CÔTÉ COEUR : je suis bien toute seule, avec mon fils. ∆ ÉTUDE/MÉTIER : conseillère conjugal.
Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 15:49
HARVEY ! SO SEX **
Bienvenue !
Callista D. Bellamy
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∆ COEUR BRISÉS : 264 ∆ HABITE À PARIS DEPUIS : 05/11/2012 ∆ CÔTÉ COEUR : Célibataire ∆ LIEU D'HABITATION : Paris, 16ème.
Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 15:52
Bienvenue à paname t'es trop sekss l'nouveau. bonne chance pour ta fiche
Marilyn E. Carrington
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∆ COEUR BRISÉS : 237 ∆ HABITE À PARIS DEPUIS : 04/11/2012 ∆ CÔTÉ COEUR : Célibataire et maman ∆ ÉTUDE/MÉTIER : Esthéticienne
Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 15:58
Super choix d'avatar Bienvenue chez les fous
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Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 16:04
merci les filles,vos choix d'avatars sont pas mal non plus
Appolline C-A. Dumont
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∆ COEUR BRISÉS : 171 ∆ HABITE À PARIS DEPUIS : 05/11/2012 ∆ CÔTÉ COEUR : Très mitigée. ∆ ÉTUDE/MÉTIER : Danseuse professionnelle. ∆ LIEU D'HABITATION : Paris 15ème.
Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 16:59
HARVEY !! Bienvenue sexy boy, n'hésite pas a me harceler de mps si tu as une question.
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Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 17:01
Bienvenue
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Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 17:04
Je te prends aux mots Appoline si j'ai une question merci à vous les filles
Louise A. Marchal
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∆ COEUR BRISÉS : 181 ∆ HABITE À PARIS DEPUIS : 06/11/2012 ∆ CÔTÉ COEUR : célibataire. ∆ ÉTUDE/MÉTIER : journaliste.
Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 19:08
il est beau lui bienvenue parmi nous, j'adore le début de ta fiche alors bon courage pour la suite
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Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 20:07
haha harvey quoi merci
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Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 20:14
Super choix d'avatar. Ce mec est trop beau ;D Bienvenue
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Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 20:16
Hahah merci, Karen est pas mal non plus
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Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée) Sam 10 Nov - 20:46
Alors, tu t'sens comment maintenant que t'as ta couleur ?
Bienvenue sur le forum (: Harvey est une excellent choix J'espère que tu passeras de bon moment ici avec moi. Bravo ! Tu viens d'être validé(e) et tu vas donc pouvoir profiter pleinement de ta vie à PARIS. Si tu ne l'as toujours pas fait, (Pas Biennnnn!), je te conseille d'aller voir tout de suite les sujets important telle que le bottin, ensuite d'aller crée tes scénarios scénarios . Bien évidemment, si tu as un problème ou quoi que ce soit, n'hésites pas à nous poser toutes les questions que tu veux ! En tout cas, la team est très heureuse de pouvoir t'accueillir et on espère de tout notre cœur que tu te plairas en notre compagnie ! De plus, n'oublie pas d'aller commencer à t'occuper de ton personnage et de ton personnage dans la partie gestion. Finalement, ton groupe est dont les serials lovers, toutefois, si dans le cas ou celui-ci ne correspond pas suffisamment à ton personnage, n'hésite pas à nous en faire part! On t'aime ! Kiss.
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Sujet: Re: OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée)
OSVALDON ♂ le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence(terminée)