▽ CHAPITRE I, « Des fois j’me dis que je suis pas née dans le bon sens, genre je suis sortie de ma mère à l’envers et les mots que j'entends je les entends à l’envers, les gens que je devrais aimer je les hais et les gens que je hais. »

12 Avril 1993 Paris, 15 éme. Des cris percent la nuit dans un hôpital du quinzième arrondissement de la capitale Française. Dans la petite salle d'attente aménagée près de la salle d'accouchement, monsieur Dumont patiente avec nervosité sur l'un des fauteuils. Il avait déjà vécu ça une fois, mais c'était il y a deux ans déjà. Et s'il y avait complications ? Et si le bébé n'était pas en parfaite santé ? Accoucher un mois avant le terme n'était pas particulièrement dangereux mais tout de même, c'était stressant. Aussi bien pour lui, sa femme, ou leur premier enfant une petite fillette qui semblait pourtant dormir sans préoccupation particulières, sur les genoux de papa. - Monsieur Dumont, je vous présente Constance. Une infirmière venait de pousser la porte, une petite couverture en laine rose dans les bras. À l'intérieur, une jolie petite tête brune mordillait le doigt que son père venait de tendre pour caresser ses petites joues rouges. Constance Frédéric Dumont faisait son entrée dans le monde, et dès cette instant où il la regardait pour la toute première fois, son père tombait sous le charme. Belle comme un coeur.

À six ans Constance prenait des cours d'équitation le week-end, jouait du piano, violon, pratiquait la gymnastique ainsi que la danse classique. Ses journées étaient bien remplies et planifier à l'avance. Tout était programmer pour faire d'elle la fierté de la famille, le petit ange par excellence. Bonne éleve, petite fille sage et obéissante qui tenait toujours de bonnes manières et rangeait déjà seule sa chambre, Constance a été élevée telle une vraie princesse. Elle n'avait qu'à battre des cils et afficher ses yeux de chien battu pour qu'on lui servent le monde sur un plateau d'argent. Maligne et manipulatrice, elle se servait souvent de l'addiction de son papounet pour son grand sourire afin de constamment parvenir à ses fins. Petite déjà, quand elle ne se chamaillait pas avec sa grande soeur sur qui aura la garde de poupée Margarette ses jours-ci elle passait la plupart de son temps libre à dessiner. Chaque enfant aime gribouiller sur une feuille blanche, mais pour Constance c'était bien plus que ça. Elle adorait laisser aller son imagination et créer son univers à travers ses crayons. D'ailleurs, elle était très douée pour cela. Aillant un peut de mal à se faire des amis à cette âge là elle compensait en dessinant un monde imaginaire où elle avait beaucoup d'amis, même s'ils n'étaient rien d'autre que des peluches.

À force de la voir constamment seule, enfermée dans sa chambre à discuter avec ses amis imaginaires jusque croire qu'ils existaient vraiment, les Dumont emmenaient leur fille chez un psychiatre scolaire qui diagnostique rapidement un trouble de la personnalité de groupe A. Ce qui est assez rare chez les enfants de moins de seize an, mais pas impossible, la preuve. Les Dumont furent aux petits soins pour que leur fille surpasse son "handicap" et dépasse cela. De plus, ils mirent un point d'honneur à garder cela secret.

▽ CHAPITRE II, « Ca devient trop compliqué d'être quelqu'un. »

Dix ans plus tard. Comme prévu, Constance à surmonter cela, elle suit un traitement médical ; trois petites pilules blanche chaque jour qui la font se sentire un peut plus normale, la font entrée dans les rangs. Elle étudie désormais au collège/lycée privé et exclusivement féminin de son quartier. Elle c'est fait beaucoup d'amis, une tonne même ! Elle est devenue une adolescente comme toutes les autres se préoccupant du maquillage, des sorties, des vêtements et des garçons. En parlant de garçons ! La jolie brunette à beau être d'apparence la fille parfaite, adulée de tous ses professeurs et au carnet de notes irréprochable elle n'en est pas moins une jeune fille aux hormones en ébullition. Elle vient de perdre sa virginité avec Matthieu, le grand frère de sa copine Gwenaëlle qui est déjà majeur et oui ! Mais ne dites surtout pas que je vous en ai parler. Ses parents la croient encore vierge et innocente, ils l'enverrait chez les nones s'ils apprenaient qu'un gars de 18 ans a poser ses mains sur la ceinture de chasteté de leur petite princesse.

Au revoir Cendrillon et Blanche-Neige, bonjour exta', beuh, vodka et martiny. Leur fille chérie n'est malheureusement plus si douce et innocente. La jeunesse parisienne est depravée, que voulez-vous. D'ailleurs Constance sait parfaitement comment magner la barque. Elle ne c'est encore jamais fait prendre et vie une vie à 100 à leur de bonne petite fille sage la journée et biatch depravée la nuit tombée. N'étais-ce pas ce que ses parents voulaient ? Une fille normale et extra-sociale qui garde la moyenne en faisant du charme aux professeurs.

▽ CHAPITRE III, « T'es trop belle pour être gentille. C'est pourquoi tu détruis tout ce que tu touches. »

- Comment tu a pu faire ça, Constance? Comment tu a pu me faire ça à moi ?! Je croyait qu'on était heureux ! Je croyait que je te rendait heureuse. Putain !
- J'suis désolée. Je t'avait dis qu'il fallait pas t'attacher.
- C'est ça ton excuse ? "Je te l'avait dis."

Je baissait la tête, simplement. Je l'avait aimé. Putain que je l'avait aimé. Et justement c'était ça le problème, mon amour pour lui, ma dépendance, tout ça m'avait fait peur. Je flippait à l'idée de le perdre, j'explosait dès que quelqu'un s'approchait de trop près, j'avais été dépendante. Et dieu sait que c'est horrible de dépendre de quelqu'un. Grâce à cet amour réciproque je m'était sentie forte. Assez forte pour ne plus me droguée de pilulles. J'avait stopper mon traitement et mon cas c'était aggraver. J'était passer de trouble de la personnalitéde type A à B. Je pétait les plombs je devenait barge. Moi étudiante à la Sorbonne qui avait un train de vie stable ou du moins plus ou moins stable, je sombrait peut à peut. J'avais été infidèle à la seule personne au monde à croire en moi, la seule personne en dehors de mes parents et de ma soeur à connaître mon état. Sans ses pilulles je foutait tous en l'air, je brisait, detruisait. Je faisait souffrir les gens, je me faisait également souffrir en m'auto-mutilant, je séchait les cours, passait mon temps enfermée dans ma chambre dans le noir, bannissant la lumière du jour, comme pour me punir. Mais me punir de quoi ? Rien. Mes agissements n'avaient pas de sens, plus rien n'avait de sens sans lui.

Tous cela c'est passer l'an dernier. Mais c'est derrière moi désormais. Avec l'aide de mes parents avertis par ma soeur elle-même avertie par mon "ex" petit-ami je m'était reprise en mains. Le doyen de la Sorbonne, bon ami de mon père avait accepter que je réintégre les cours en septembre à condition de ne plus en rater un seul. J'ai rencontrer un nouveau psy' qui m'a prescrit un nouveau traitement un peut plus fort et plus efficace.La dernière chose que je veuille aujourd'hui est de retomber dans ce cercle vicieux. Je ne peux pas revivre ça une seconde fois.

Bref. Moi c'est Constance, 19 ans, étudiante à la Sorbonne. Officiellement fille-modèle, officieusement barrée.

Citation :

PRÉNOM/PSEUDO : Mandy AGE : 17 ans PAYS :France FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5/7 PERSONNAGE : Scénario Comment est-tu tombé sur JTL ? Grâce à une pub sur bazzart COMMENT TROUVES-TU JTL ? MAGNIFIQUE UN DERNIER MOT ? YOLO

commentaire du valideur !

Bravo ! Tu viens d'être validé(e) et tu vas donc pouvoir profiter pleinement de ta vie à PARIS. Si tu ne l'as toujours pas fait, (Pas Biennnnn!), je te conseille d'aller voir tout de suite les sujets importants tels que le bottin, afin de vérifié si la célébrité que tu possède est dans celui-ci, ensuite d'aller crée tes scénarios scénarios . Bien évidemment, si tu as un problème ou quoi que ce soit, n'hésites pas à nous poser toutes les questions que tu veux ! En tout cas, la team est très heureuse de pouvoir t'accueillir et on espère de tout notre cœur que tu te plairas en notre compagnie ! De plus, n'oublie pas d'aller commencer à t'occuper de ton personnage dans la partie gestion et d'aller créer ton téléphones. Finalement, ton groupe est donc Les tue l’amour, toutefois, si dans le cas ou celui-ci ne correspond pas suffisamment à ton personnage, n'hésite pas à nous en faire part! On t'aime ! Kiss.